En jour de fête pour Ma naissance sur la terre, Moi, le Seigneur, Je Me laisse en parole dans Mon livre d’aujourd’hui, Je M’annonce de long en large avec ce jour, et Je dis à tous ceux de la terre que c’est Moi le Créateur, C’est Moi le Noel, tel qu’ils M’ont nommé les ancêtres saints, en jour de fête de Ma naissance sur la terre, et J’apporte beaucoup de dons, à condition que J’aie à qui les donner, à conditions que l’homme Me veuille avec lui.
Et voilà, Je descends en traversant des difficultés et Je laisse un peu de parole dans le livre, et Je regarde la douleur qu’ils ont eu ceux qui ont porté Ma venue, du temps de Ma naissance sur la terre, car c’est avec douleur que ceux qui M’ont porté sont allés de lieu en lieu, pour Me protéger de ceux qui guettaient pour perdre Ma vie, oh, et c’est avec douleur qu’elle a trouvé de place Ma naissance sur la terre, et la protection de Ma chair ensuite, et Nous n’avons pas eu d’appui, puisque l’homme ne s’arrête pas devant la douleur, il ne s’arrête pas pour les endoloris, car l’homme est faible, et il cherche des joies contre la souffrance, et Moi, Je suis Le miséricordieux, et J’envoie toujours les saints aller vers tous ceux pris par les douleurs, pour qu’ils leur donne des cadeaux, et Je leur dis : Oh, saints guérisseurs, descendez, oh, descendez en gloire, descendez sur la terre aux hommes, puisqu’il est en souffrance tout le genre humain, il cherche son soulagement et on ne trouve pas sur la terre des guérisseurs doués de pouvoir parce que les hommes sont dominés du péché, oh, saints guérisseurs.
Oh, il est triste, très triste l’homme, et c’est pour cela qu’il cherche de quelque façon avoir des joies, et il n’a pas la force de comprendre le royaume des cieux, et la consolation qui en vient pour l’homme.
Oh, que de fois J’ai été avec l’homme, en prenant un visage terrien, humain, oh, que de foi! Oh, combien Je voyage, que de fois Je parle avec les hommes, et personne ne Me reconnait, puisque Je ne Me découvre pas.
Je regarde d’en haut avec douleur, que de péché il y a dans les hommes sur la terre, et que de guérison Je voudrai leur donner, que de naissance d’en haut! Je voudrais offrir à l’homme le royaume des cieux celui plein de paix dans l’homme, si seulement l’homme l’accepte en lui, et de sa part ensuite.
Oh, peuple de Ma parole, paix à toi, Mon fils! Dans le monde il y a un autre vœu pour la fête de Noel, on dit joyeux Noel, mais Moi, Je dis: Paix à toi! Je descends vers toi par la douleur et le froid et en défaut de force, et tu connais Mon embarras. Oh, lève-toi et dépêche-toi d’aller à la porte avec des gimblettes, et des dons chrétiens, car ils viennent des chanteurs de Noëls à la source, et tu dois les accueillir et leur offrir des dons du ciel, tel que Je te donne Moi-Même, et Je te fais partageur, puisque Je Me prépare d’entrer dans le livre avec Ma mère, la Vierge, et envoyer ensuite la lettre à tous ceux qui regardent vers le voie de Ma parole, et attendent que Je Me montre avec elle.
Oh, quelle beauté, qu’elles sont belles les chansons des anges et des saints dans Mon jour de fête de naissance, quelle beauté! Il y a fête de naissance, et ils Me consolent les saints et les anges et Ma mère la Vierge Me console aussi.
Oh, Mon pays d’aujourd’hui, oh, peuple roumain, c’est n’est pas Ma fête, ce n’est pas le Noel quand tu le fêtes, puisque ce n’est pas ainsi que l’ont porté tes ancêtres, et tu devais obéir à tes saints et tes parents, et voilà, cette fête est telle qu’il l’a célébraient eux, et ils Me recevaient avec cette fête et ce nom (Le nom de Craciun, venant du mot Créateur). Et c’est Moi le Craciun, C’est Moi le Créateur, et ils Me nommaient Craciun tes ancêtres, et ils étaient comblés de dons saints, et c’est pour cela qu’ils M’aimaient tes ancêtres, et maintenant tu fais comme tout le monde, festin avec de ceux qu’on ne mange pas aux jours de jeûne, d’avant Noel.
Oh, ne peuvent-ils pas les hommes s’amuser et bien manger et boire, au moment où elle arrive la fête d’entre les années, fête que le monde appelle réveillon? Oh, il est venu l’homme étranger des fêtes saintes, il t’a trompé, il est parti, et il t’a laissée trompé, oh, Mon pays orthodoxe, et tu a dit comme lui et tu as changé la place des fêtes anciennes, comme si tu étais païen, non pas chrétien, et il n’y a pas eu quelqu’un qui te défende, qui te protège de ce mal, car les chefs de l’église t’ont vendu au désordre, oh, Mon pays d’aujourd’hui. Mais toi, tu ne savais pas ce que tes ancêtres saints t’ont laissé à faire et à vivre? Moi, le Seigneur, J’attends que tu reviennes à toi, et Je t’attends depuis longtemps et Je te regarde, puisqu’il n’est pas bon que tu restes à suivre la loi de l’homme qui s’est mêlé à ce qui n’était pas à lui. Il faut que tu saches que J’ai remis en place les fêtes saintes de ton foyer, et J’ai bâti Mon église vivante, formée de fils fidèles, et avec la crainte de Dieu en eux, puisque Je ne veux pas venir et trouver partout de désordre en toi, car la vraie église et communauté chrétienne selon Ma volonté, n’est pas celle du sommet de la montagne, revêtue de pourpre, mais celle obéissante au Seigneur et aux saints parents, celle inconnue, celle ignorée du monde, celle qui n’est pas visitée et suivie des gens du monde, mais c’est celle qui a du prix à Mes yeux, et c’est celle mal aimée et diffamée, et voilà ce que Je dis: Malheur à l’église sans ennemis, car qu’est ce qu’elle peut être encore? Elle est sans valeur l’église à laquelle on n’en veut pas. C’est cela que Je dis aujourd’hui, afin d’être connu au-dessus de la terre.
Et maintenant Je serai avec Ma mère la Vierge, en parole pour la fête de Ma naissance, mais aussi avec vous, fils de Mon peuple d’aujourd’hui, et Nous recevons les chanteurs de Noëls, les fils. En ce jour de fête, paix à vous, et à ceux qui viennent chez vous à Ma source de parole!
Gloire au ciel et sur la terre pour la fête du Craciun, car Craciun (le Créateur) c’est Moi. Je suis Celui Qui est, les fils. Amen, amen, amen.
07-01-2015