|
La Parole de Dieu à la Fête de la Naissance de la Mère de Dieu, la Nativité de la Vierge Marie C’est le Père Sabbaoth Qui M’envoie en parole dans Mon livre d’aujourd’hui, avec jour de fête céleste sur la terre et dans le ciel, dans le ciel et sur la terre, puisque c’est le jour de salut pour l’homme, le jour où Ma mère la Vierge est née sur la terre entre les hommes, de la grâce de Dieu descendue sur la terre par la prière, car ils ont prié ses parents qui étaient stériles, ils ont prié Dieu pour le don, qu’ils ont reçu ensuite, et elle est née Ma mère la Vierge, et elle a grandi, et elle M’a porté ensuite dans son sein virginal, et la gloire du ciel s’est levée et on a chanté au moment où elle M’a mis au monde, enfant sur la terre, et voilà le mystère de Dieu: Ma mère la Vierge, sa naissance et Ma naissance ensuite, et la naissance d’en haut de l’homme qui naît de ce mystère, l’œuvre de deux mille ans, à laquelle l’homme est appelé et attendu. Oh, c’est un jour de fête sainte pour toi, Ma mère, et il y a tant de beauté dans les cieux en ce jour, et Nous descendons avec cette beauté et Nous Nous inscrivons avec elle dans Mon livre d’aujourd’hui sur la terre, Ma mère, au milieu du peuple de Ma parole, pour Nous réjouir chrétiennement, Nous avec lui et lui avec Nous, Ma mère. Oh, tu es pleine de gloire et entourée de gloire, Ma mère! La gloire du Seigneur dépasse le pouvoir de l’homme de la porter par le regard et par le cœur, avec tout son mystère. Mais Nous affermissons la faible chair qui se tient devant la gloire d’en haut, gloire qui se montre sur la terre avec son mystère, Ma mère. Oh, quelle petite compréhension pour le mystère de l’œuvre de Ma parole et de sa voie aujourd’hui sur la terre, Ma mère ! Les porteurs de Dieu sont avec la terre et avec le ciel à la fois, et ils ont à porter des charges et d’en haut et d’en bas, et ils doivent pouvoir agir pour les deux, et Moi, le Seigneur, Je prends soin de ce pouvoir, car autrement il pourrait faire fondre l’homme, Ma mère. Oh, que de mystère dans le travail de Notre Père pour toi et pour Moi, quand Il M’a mis dans ton corps, pour que tu Me portes et tu Me donnes naissance, et que tu Me montres, pour annoncer Dieu né sur la terre entre les hommes, oh, Ma mère! Oh, combien de mystère dans la protection que le Père Nous a accordé contre les hommes, dont l’aveuglement était grand, Ma mère, et ils ne voyaient pas Dieu dans Mon Etre descendu d’en haut sur la terre! Oh, combien de soin prend le Père de Son œuvre, pour travailler et pour couvrir la gloire des mystères céleste, lorsqu’ils sont travaillés et mis sur la terre entre les hommes, Ma mère! Voilà, Nous devons prendre soin, Nous ceux d’en haut, et affermir d’en haut les porteurs des mystères du Seigneur dans leur œuvre sur la terre, puisque Daniel, le prophète, qui se trouvait face au déroulement des mystères du Seigneur pour en témoigner ensuite, il était tout accablé de leur gloire, qu’il voyait, mais Le Seigneur s’approchait en le levant de l’impuissance et il s’élevait pour les devoirs, car il s’occupait des affaires du roi, et il devait à tout instant s’organiser comme il convient à un chef engagé par le roi, pour tous les travaux, oh, et il reprenait ses forces, et il se levait, celui qui tombait effrayé sous l’image de la gloire des mystères du Seigneur. Oh, Ma mère, si Dieu n’avait pas pris chair, si tu n’avais pas été née sur la terre, pour enfanter ensuite Dieu le Fils, alors quelle sorte de salut auraient eu les pécheurs qui voient leurs péchés et s’en culpabilisent devant le Seigneur, le Sauveur de ceux perdus par le péché? Oh, sait-il l’homme, sait-il ce qui le sanctifie? Oh, quelle montagne de repentir avaient les saints tout le temps! Voilà, c’est le repentir qui sanctifie l’homme, et les saints avaient toujours la prière de la repentance devant le Seigneur, et ils confessaient toujours leurs péchés, ils pressaient sans arrêt sur eux, Ma mère. Oh, pourquoi ne font-ils pas ainsi tous les hommes, Ma mère? Ne sont-ils pas tous pécheurs, ne le sont-ils pas tous, Ma mère? — Oui, mon Fils, ils sont tous des pécheurs, mais seulement peu d’entre eux croient et savent combien Dieu est grand et glorieux et saint, pendant qu’il y en a de ceux qui ne veulent même pas entendre ou parler de cette vérité, puisqu’ils ne peuvent la porter à cause de leurs péchés, et préfèrent plutôt effacer de leur voie et de leur pensée la vérité de la vie et le Dieu de la vie de l’homme, oh, bien-aimé Fils, et Toi, Tu en souffre et Tu es méprisé par les pécheurs, qui ne savent pas qu’il est doux le miel du repentir, l’esprit qui ne peut être supporté du diable, celui qui amène le péché dans l’homme, Seigneur mon Fils. — Oh, Ma mère, ma mère, voilà Ma grande pitié pour l’homme dépourvu de sainteté, de l’œuvre du repentir qui sanctifie, Ma mère! Il M’a méprisé l’homme dans le paradis après avoir désobéi à Dieu. Tout ainsi il s’est passé ensuite, car celui qui commet le péché Me méprise et ne Me reçoit pas pour le guérir de ce qui est doux pour lui, et pour Moi amer, et s’il ne veut pas être découvert avec son laid péché, il Me méprise comme Adam en Eden, lorsque J’ai voulu sortir à la lumière son péché commis par la désobéissance, et auquel allaient suivre beaucoup, beaucoup de péchés. Il était mort en lui l’amour de Dieu et il était mort Adam, si l’amour était mort en lui, et si J’ai voulu le sortir de la mort, celle à cause du péché, il ne M’a pas reçu Adam et il M’a méprisé, alors Je l’ai pris d’Eden et Je l’ai logé sur la terre, si c’est cela qu’il a choisi. Oh, pas même dans le paradis, Ma mère, pas même dans le paradis Je n’ai pas tant parlé avec l’homme comme maintenant, Ma mère. Oh, voilà quelle grande merveille sur la terre en ce temps, Ma mère! Je n’ai pas travaillé ni avec Moïse, ni avec les prophètes si intimement, si paternellement si longuement Ma mère. Oh, J’ai beaucoup, beaucoup parlé avec Mon peuple du début aussi, au milieu duquel Je Me suis fait le Fils de l’homme, né de ton corps virginal, Ma mère, et Je l’ai beaucoup enseigné ce peuple, et J’ai mis des commandements pour sa vie, mais lui, il a peu accompli, peu et toujours moins, jusqu’à ce qu’il M’ait totalement éloigné de lui, et cela non pas puisqu’il ne M’a pas connu, mais c’est parce qu’il M’a connu qu’il M’a éloigné, et c’est à cause de ses péchés qu’Israël M’a éloigné par ses chefs, et il se croit Israël, aujourd’hui comme hier, il se croit le plus grand et le plus béni des peuples, et tous les hommes de la terre voient combien il se sent grand entre les peuples de la terre, oh, combien grand, Ma mère! — Oh, Seigneur mon Fils, Dieu le Fils, Tu as mis tant de dons sur Israël, mais il a montré son infidélité envers Toi et envers les parents, et il est resté avec la présomption jusqu’aujourd’hui. C’est la même chose avec le peuple chrétien celui d’hier et celui d’aujourd’hui, car Tu as bâti à Ton début sur la terre avec nous, Tu as bâti Ton église et Tu l’as affermie sur de forts piliers, sur des apôtres fidèles et saints par l’amour et l’accomplissement de leur amour plein de repentir, et ceux d’après eux n’ont plus travaillé ainsi , mais le long du temps presque tous sont tombés malades du désir de gloire et d’argent, et ils T’ont frappé avec des douleurs et de la honte, Seigneur. Tout comme Adam dans l’Eden, ceux-ci couvrent les ténèbres de leurs péchés, et ils se tiennent devant le ciel impurifiés du péché et toutes ces choses se passent sur la terre devant Toi, à cause du manque de la crainte de Dieu et de leurs péchés, ceux des hommes et ceux de leurs pasteurs, auxquels ils ne restent que des noms de pasteurs, mais ils ne paissent pas le troupeau, il ne ressemblent pas à Toi et à Tes disciples, ceux pleins de repentir et de sacrifice avec de la souffrance, Seigneur, car ceux qui n’ont pas la crainte de Dieu, ils ont des choses à cacher, et celles-là sont des ténèbres, et il n’y a pas de lumière en eux, à cause des choses cachées en eux-mêmes. Et comment faire pour échapper à ces ténèbres, que par la crainte de Dieu, et surtout par le repentir, tel que Tes saints travaillaient la vie pour eux, et la sainteté par le repentir, toujours, toujours le repentir, oh, Seigneur? Mais aujourd’hui, Seigneur mon Fils, Nous avons à nourrir, à réjouir et à consoler les chrétiens, car ils viennent à la source, et Nous devons faire place à la rencontre avec eux et partager en deux le temps et le travail, puisque Nous devons Nous porter à la rencontre avec eux en jour de fête impériale pour Ton église, et Nous allons travailler en partageant en deux le contenu de la parole d’en haut en mon jour de fête. Ceux qui Nous partagent sauront comment travailler de sorte que le temps leur suffise pour la rencontre avec ceux venus à la source, et qui ensuite ils retournent et qu’ils fassent savoir tout le contenu du travail de la parole d’aujourd’hui. Il y a beaucoup de travail ici, Seigneur mon Fils, et le temps presse avec tout ce qu’il y a à accomplir, et maintenant Nous allons Nous tenir devant ceux menés du désir saint à la source et au lieu de repos du Seigneur et de Ses saints, pour leur donner de la nourriture et leur dire cela: Consolez le Seigneur, oh, les fils! Chantez au Seigneur, chantez en vous réjouissant de Lui! Appelez-Le, car c’est Lui votre aide! Chantez avec douceur, sonnez du tambour et de la trompette, puisque c’est un jour de fête! Jouez de la cithare, des cordes et chatez de votre voix, parce que cela c’est une loi, c’est un ordre de Dieu pour les fêtes! Faites retentir des chansons et glorifiez le Seigneur et Son nom avec des instruments de musique, comme il est écrit, et moi, je lis du livre d’en haut pour vous dire tout cela. Oh, n’oubliez pas, n’oubliez pas cet ordre, vous qui êtes sortis du monde et vous êtes venus pour appartenir au Seigneur, et prendre et travailler de Lui! Chantez, car on a jour de sainte fête, oh, fils fatigués, et reposez-vous ainsi, en vous réjouissant, en réjouissant et en chantant au Seigneur, Amen. — J’ai rappelé ici, à la source, qu’on redouble à l’occasion des fêtes le chant de gloire et de prière, Ma mère. Le temps passé en compagnie de ceux du ciel est un cantique, puisque dans le ciel on chante toujours la gloire pour le Seigneur, gloire à Son nom, et David a dit pour ceux de la terre: «Chantez au Seigneur un cantique nouveau! Proclamez de jour en jour Son salut parmi les nations, et Sa gloire, entre tous les peuples Ses merveilles, car la louange et la sainteté se trouvent devant Lui, la sainteté et la majesté dans Son sanctuaire». Oh, venez et réjouissez-vous du Seigneur, invoquez Dieu et accueillez-Le, vous qui venez à la source! Oh, réjouissez-vous avec Lui dans les fêtes, oh, les fils, car c’est ainsi qu’il est écrit. Je vais vous enseigner maintenant, car Je parlerai avec vous et avec ceux qui viennent se présenter au Seigneur dans les fêtes. Qu’ils guérissent du péché et des blessures venues du péché, ceux qui viennent à Ma source de parole et dans Ma cité d’ici, pour se montrer au Seigneur! Je vous enseigne en ce jour vous, et ceux qui y viennent souvent, et nous partageons maintenant en deux ce que Je laisse sur la table chez vous de l’esprit de Mon enseignement pour vous, et pour ceux qui doivent mieux apprendre comment venir quand ils viennent se présenter au Seigneur, oh, les fils, puisque la cité de Ma parole est le lieu de repos du Seigneur et de Ses saints d’abord, et ensuite elle l’est aussi à ceux qui sont mis ici pour veiller la cité, et pour toutes Mes activités au milieu d’elle, et puis elle est pour la joie de ceux qui viennent aux fêtes, à côté de Ma joie venue d’eux, de ceux qui aiment le Seigneur, tel qu’Il leur apprend comment doit être leur amour. Amen, amen, amen.
***Oh, J’ai dit à la fête avec ressemblance à Ma source de parole, J’ai dit à ceux réunis alors de veiller sur l’amour, le faire croître, et il croît par le désir saint, qui doit être nourri. J’ai dit qu’il faut venir ici comme à Dieu, puisque J’y ai Mon œuvre et Je viens ici avec Mes saints. Je vous enseigne en ce jour vous, fils de la source, Je mets de l’enseignement sur la table chez vous et Je l’envoie par lettre à ceux que Ma parole appelle sous son mystère, et ceux pleins de désir saint viennent par le pouvoir de l’amour et de la foi, car l’amour nourrit la foi, et Moi, le Seigneur, Je nourris l’amour de tous ceux attirés de la grâce de Ma parole, lorsqu’elle se verse sur ceux qui Me désirent en cette parole, qui appelle l’homme à festin céleste, l’homme fatigué de la marche, qui a besoin de repos et de consolation. J’inscris parole sainte dans Mon livre pour ceux qui viennent vers la cité de parole dans les fêtes, et Je dois absolument laisser de l’enseignement fort, puisque pas tous ceux qui viennent, ou vont venir dorénavant, oh, pas tous sont sages envers Moi et envers vous et la place de Ma gloire ici, et Je dois leur apprendre de ne pas venir n’importe comment alors que Moi, le Seigneur, Je sonne et Je les rassemble à la table, pour leur donner de Moi, car voilà elles viennent souvent des rencontres à la source, les fils, et vous peinez et préparez et servez ceux qui viennent et Je leur apprends maintenant comment remercier Dieu chaque fois et avec combien de piété ils doivent regarder vers ce lieu et vers vous, ceux établis par Moi pour veiller ici. Vous, ceux que le désir saint porte et vous vous rassemblez auprès de Moi ici à la source, dans Mes jours de fête et ceux de Mes saints, oh, vous devez croître votre amour, mais ne le faites pas seuls, car vous avez besoin de Mon enseignement sur vous pour savoir ensuite qu’en ce lieu on vient avec de la timidité sainte, et à la fin des rencontres on part avec l’esprit plein de contentement, d’amour saint et avec beaucoup de vie en vous. Il y a parmi ceux qui s’approchent et viennent, il y en a entre eux des gens qui n’ont pas de bons regards, de bonne lecture, de l’amour et des parlers comme il sied, et Moi, le Seigneur, c’est pour cela que Je sonne et Je les rassemble et Je les enseigne, pour que Mon conseil s’attache à eux. Oh, tout est pur pour ceux qui sont purs, c’est cela que vous devez apprendre, et tout va se purifier : le regard, la lecture, l’amour, la parole, et tout. J’ai dit qu’ici on vient comme à Dieu, et celui qui va retenir ce que J’ai dit, celui-là va accomplir ainsi, mais ceux qui viennent doivent savoir comment Dieu est-Il, et comment l’homme est-il. Oh, ce n’est pas comme dans n’importe quel lieu de la terre qu’ils doivent être et venir ici ceux qui viennent et se présentent au Seigneur, oh, non, voilà, pas tous de ceux qui viennent, pas tous savent, surtout ceux qui viennent pour la première fois, et ils ne savent pas qu’on ne vient pas ici avec des cadeaux, puisqu’ici il existe un ordre fixé par Moi et on doit préserver cet ordre. C’est Moi Celui Qui Me donne un cadeau, et il ne faut pas qu’il M’offre des cadeaux celui auquel Je Me donne en cadeau, avec toute Ma parole, pleine d’enseignement et de salut. L’homme qui cherche le Seigneur est habitué à porter des dons aux églises, aux monastères, mais ici cela n’est pas possible, car on travaille du dedans seulement, et pas du dehors pour l’ordre qui règne sur toutes les choses ici. Moi, le Seigneur, J’ai conseillé à ceux qui veillent ici et Je leur ai toujours dit de garder leurs mains propres de tout, de tout ce qui n’est pas avec Mon savoir pour les choses d’ici. Vous qui venez, oh, apprenez comment venir! N’apportez pas de dons! Ceux qui travaillent ici doivent rester les mains propres, et c’est Moi, le Seigneur, Qui a tout établi de ce qui se trouve ici. Oh, on ne peut avoir ici de ramassis de partout. C’est seulement sur ceux qui se sont purifiés complètement que Moi, le Seigneur, Je M’appuie pour tout ce que J’ai ici. C’est avec grande veille que Je garde cet établissement et tout ce qu’on travaille ici, et J’ai pris comme appui ceux que Je connais bien et de près et Je les enseigne come au temps des premiers chrétiens, même plus encore, et l’esprit du monde doit être loin de tout ce qui se trouve et se travaille ici. Ceux qui viennent à la table d’ici doivent quitter leur habitudes et façon de parler, car Moi, Je prends soin de l’esprit et des oreilles de ceux d’ici, qui se tiennent attentives à Moi, et à celles d’en haut, et le langage personnel, oh, il n’est pas bon qu’il cherche de place ici dans les fêtes avec réunion à la source, mais c’est seulement avec de la joie pleine de modestie sainte qu’il faut passer le temps ici. J’ai regardé et J’ai vu le comportement de quelques uns, qui parlaient beaucoup et à haute voix, de toute sorte de sujets en deux, J’ai vu du va-et-vient sans raison et manque de gêne sainte. J’ai vu de l’inattention et de l’agitation. Tous ceux qui viennent doivent apprendre que ce lieu est le mystère de Dieu, sur la terre et Sa lumière sur les hommes et Son Esprit connaisseur de l’homme, même si ceux qui vivent ici ont une conduite si chaleureuse, si naturelle, face à ceux qui viennent à la source. Ceux qui se mettent en route pour venir ici dans les fêtes doivent porter des vêtements chrétiens, décents, pour ne pas provoquer de trouble entre ceux qui s’assemblent à la table de parole. La table de la parole de Dieu est comme un pain, que Moi, le Seigneur, Je romps et Je partage, et ceux qui viennent à Ma table n’ont rien à partager, puisque c’est Moi Celui Qui a, Celui Qui partage, et c’est ainsi en ce lieu, on prend de la table, on n’apporte pas pour mettre sur la table, et c’est ainsi qu’il faut se conduire ceux qui viennent ici, à Ma table de parole. Oh, il ne faut pas envoyer des lettres vers Mon lieu d’ici, car ce qui est écrit reste écrit, et ceux qui vivent ici doivent prendre seulement du ciel, et seulement ce que Moi, Je leur donne à prendre de la terre. Celui qui veut envoyer quelques chose vers ce lieu, parlé ou écrit, oh, il ne sait pas si c’est bon ou avec faute envers Moi ce qu’il écrit ou il parle, et c’est pourquoi Moi, le Seigneur, Je le conseille d’avoir de la gêne sainte envers Ma cité d’ici. Ceux qui n’apprennent pas d’ici à connaître Dieu venu en parole pour conseiller l’homme, un tel homme peut apporter des médisances, du mépris, l’esprit de jugement, et même des douleurs sur ceux qui veillent ici. Et que peut-on faire avec ceux-ci qui n’apprennent pas ce que c’est ce lieu et Mon mystère qui s’y trouve? Et, en fin, J’apprendrais à tous qui viennent à la source de parole, et Je voudrais qu’ils puissent apprendre à manger de la nourriture préparée, telle que J’ai donnée à l’homme à manger dans l’Eden. C’est le jeûne de la venue du Seigneur le nom de cette sorte de nourriture, et cela signifie de la pureté d’esprit et de la chair cette occupation, et J’ai toujours conseillé ceux qui aiment et qui croient à Ma venue, Je leur ai dit de se tenir en sainteté auprès de Moi, et pour cela qu’ils embrassent Ma volonté sur eux et devenir des moines avec leur vie entière : nourriture propre, corps propre, vêtements décents, esprit doux et humble, patience, foi et beaucoup d’amour en même temps que tout cela, puisque Dieu c’est l’amour, et même si Je suis venu pour les pécheurs, pour les aider en vue de leur salut, Moi, Je ne suis pas le Dieu des pécheurs, mais Celui de ceux qui M’aiment. Oh, fils, vous qui venez après Moi à la source pour prendre de Mon esprit, il est doux et fort Mon conseil pour vous, car voilà, Je veux que vous n’ayez pas de peine à faire votre prière chrétienne laissée des parents, et qu’on voit cela, les fils, car vous avez des parents dans les cieux qui vous ont laissée en sainte héritage la vie accompagnée de la prière. Mais comment le fidèle peut-il aimer la prière toujours la même chaque jour? Oh, mais comment ne pas le pouvoir? Tout comme il ne peut se passer d’air, de pain, de l’eau, des habits, de tout d’autres choses pour la vie, oh, tout aussi, qu’il ne puisse vivre sans prière, puisque la prière amène devant Moi celui qui prie, et celui-là reconnaît le Seigneur par la prière vers Lui, et le prix de la prière est plus grand que tout prix, la proche compagnie du Seigneur, par le parler avec Lui, car la vie n’est pas vie sans prière pour elle, oh, et il y en a beaucoup de ceux baptisés dans l’église qui ne prient pas, ne s’occupent pas avec la prière, à cause de leur occupation avec le péché, et voilà, il est attiré vers le péché tout homme qui ne se tient pas devant le Seigneur avec sa prière d’amour entre lui et Dieu. L’homme s’éloigne facilement des traditions chrétiennes, il s’occupe d’autres choses et il oublie le Seigneur, le mystère de la vie et son prix. La vie de l’homme vient de Dieu, et le Seigneur doit être aimé tel qu’ils L’ont aimé les saints de Mon église, qui ont laissé l’esprit du repentir pour être mis en œuvre par les fils du peuple chrétien, et la repentance est prouvée par la prière, par l’approchement du Seigneur par l’esprit de la prière, et les saints parents ont laissé du guide sur la voie, et voie avec du guide, à bonne et entière mesure pour l’âme de la vie de l’homme, et voilà, il faut avoir du temps de prière continuellement, en même temps que toutes les occupations de l’homme durant sa vie, car J’ai dit aux disciples: «Priez, oh, priez, pour ne pas tomber sous la tentation, priez sans cesse!». Oh, si l’homme priait sans cesse, aucun mal ne viendrait sur lui, aucune tentation, aucune épreuve, aucun égarement de la vie avec Dieu, mais voilà, l’homme ne prie plus, et il n’est plus avec Dieu, s’il n’a pas de rencontre avec le Seigneur par la prière. Oh, qu’il est beau le début de la prière, œuvre des parents, laissée à l’église du Seigneur, oh, qu’il est beau ! Celui qui prie demande le Seigneur, l’Empereur, de venir avec Son Esprit, pour qu’Il accomplisse tout, en vue du salut de l’âme de celui qui prie, et il demande le Père par le Fils, oh, qu’il est beau ce début! L’esprit du repentir est l’esprit de la prière et les hommes n’aiment plus cela, oh, soyez vous amateurs de ces merveilles, fils qui cherchez Ma trace pour la suivre! Voilà, Je vous ai appris et Je vous apprends toujours avec tant de beauté, avec tant de grandeur. Ma mère la Vierge a regardé et a écouté avec tant d’affection tout ce que Je vous ai conseillé en son jour de fête entre les saints. Elle vous protège beaucoup si vous travaillez Mes volontés. Elle vous aide si vous l’appelez. Elle vous aime si vous aimez et vous suivez son Fils. Elle est l’ange celui d’en haut à l’aide de Mon travail sur ce foyer saint. Mon enseignement sanctifie cette terre et J’aimerais avoir sur le foyer du peuple roumain un peuple saint, le plus fort peuple, et il n’y a pas sous le soleil peuple plus fort entre les nations que le peuple chrétien, le peuple de Jésus-Christ, Mon peuple, peuple acquis de Dieu, tel qu’il est écrit, peuple tel que vous l’êtes, peuple saint, tout comment Je le suis, oh, les fils? Amen, amen, amen. 21-09-2016
|