Que la paix soit avec vous, les fils, et Nous ouvrons le livre de Ma parole et Nous y inscrivons le jour d’après la fête de L’Epiphanie, puisqu’alors Jean le Baptiste a été avec Moi dans les eaux du Jourdain, et Je l’ai fait connaître par Mon Evangile du baptême, et si au milieu des eaux Nous avons témoigné l’un pour l’autre devant la foule, oh, comment ne pas inscrire dans le livre Mon entretien avec Jean, au jour de l’Epiphanie? J’ai parlé avec lui dans les eaux, et il a parlé avec Moi, et on a écrit en témoignage Nos paroles, et voilà toute prête l’entrée dans Mon livre avec vous, l’entrée de Ma parole avec Jean à la fête d’aujourd’hui de l’Epiphanie, et vous, vous en êtes les témoins, les fils.
Entourés de la gloire de la fête de l’Epiphanie, Nous mettons dans le livre la parole d’entre Moi et toi, Mon Baptiseur. Oh, et cela ne se passe pas puisque les saints parents de l’Eglise ont établi ta fête près de la fête de Mon Baptême, mais parce que Nous témoignons l’un pour l’autre, si Nous avons été l’un près de l’autre en ce jour-là, et surtout on fait cela parce que tous ceux des cieux organisent le jour du rassemblement et glorifient le baptisé et le baptiseur, pour la joie du ciel entier, car parmi ceux du ciel la gloire des fêtes est très grande, elle est plus vive en émotion, plus douce, puisqu’il y a beaucoup de consolation pour ceux qui ont gagné la victoire sur eux-mêmes, et ils ont choisi la vie avec le Seigneur sur la terre, la vie difficile, celle qui mène l’homme au ciel, et pour la souffrance supportée sans réconfort, oh, elle arrive la consolation, vers laquelle chaque voyageur a aspiré, dans sa marche sur la terre, vers les cieux.
J’ai élevé au ciel la fête de l’Epiphanie, les fils, J’ai été avec vous, J’ai consolé comme dans les cieux avec vous ceux qui sont venus de loin à Ma source de parole et à l’eau du Baptême. Qu’elles sont douce pour Nous les rencontres qui viennent l’une après l’autre à l’occasion des fêtes ici avec eux, car c’est seulement l’amour qui porte ceux qui viennent, et Moi, le Seigneur, Je les soutiens sur la voie avec des compagnes célestes et Je les embrasse ensuite ici en parole, et encore, après des moments de consolation et de joie ici, Nous leur assurons la garde sur la voie, avec les armées d’en haut, et le Seigneur Se console sur la terre avec les hommes, avec les fidèles qui reçoivent de la consolation.
Oh, de combien d’humilité de cœur ont besoin ceux qui se rassemblent ici, lorsque ceux des cieux mettent ensemble la gloire de leurs jours de fêtes saintes avec ceux de la terre, en parole céleste! Oh, quelle stature sainte doivent avoir ceux qui se trouvent ensemble, ceux du ciel avec ceux de la terre, ceux de la terre avec ceux du ciel, dans le même sentiment!
Je bénis ta parole avec Moi, Mon Baptiseur, puisqu’il est inséparable de toi Mon jour de baptême. Amen.
— Oh, c’est d’humilité que je veux mettre parole dans Ton livre d’aujourd’hui, Seigneur baptisé du Père et du Saint-Esprit et de ma main en Ton jour de baptême, et il y a dans le ciel beaucoup de témoins arrivés depuis ce temps-là, de ceux réunis au Jourdain en ce jour pour le pardon des péchés, et pour les laver avec l’esprit de l’eau car j’étais dans le Jourdain, et le Saint-Esprit travaillait par la parole de ma bouche près de l’eau, qui purifiait et sanctifiait, et mon humilité était grande, Seigneur, et avec elle je me tenais dans l’eau et je versait le baptême sur beaucoup de gens, car ils arrivaient comme des vagues les multitudes, pour la purification de leurs péchés, pour pouvoir ensuite connaître et Le recevoir en eux et pour eux.
J’exhortais tous à l’humilité, à l’exemple de la mienne, et je les dirigeais ensuite vers le repentir, en leur promettant le royaume des cieux, où il n’est pas possible pour l’homme que d’être pur, et celui qui ne se purifie pas, reste le même. Oh, elle a été grandiose mon apparition et la Tienne au Jourdain. L’eau s’est arrêtée et ensuite s’est retiré à la vue du Maître. Nous Nous sommes parlé l’un à l’autre dans l’eau, et Notre parole est passée de bouche à bouche, et ensuite elle est venue la voix du Père, voix venue des nuages, et Qui a dit: «Celui-ci est Mon Fils bien-aimé, écoutez-Le!» et la multitude a été embrassées dans le Père et dans le Fils, Celui déclaré par le Père, et le Saint-Esprit s’est entremis pour la réalisation de la merveille, car c’est Lui Qui accomplit tout, selon Son œuvre.
Je me suis montré en toute humilité, Seigneur, en Ton jour de Baptême, et Toi de même, et Nous étions pleins d’amour et la miséricorde était l’œuvre de Notre amour, avec laquelle Nous purifiions les hommes. La miséricorde et l’amour sont l’œuvre des saints Seigneur Agnelet, et l’œuvre des adversaires des saints c’est la colère, née de l’orgueil, du désir de domination et de pouvoir sur les hommes, mais les saints sont ceux qui supportent longuement, ils supportent en aimant, et l’amour console la douleur des peines, Seigneur, il console et sanctifie et partage de la foi à travers les siècles, et ils n’ont rien à perdre ceux qui sont patients, mais ceux qui sont pleins de colère perdent, et ils ne gagnent rien les furieux par leur conduite arrogante, tant qu’ils occupent les chaises du pouvoir. Oh, alors comme maintenant, Nous considérons avec pitié ceux qui cherchent du pouvoir sur les hommes, mais ils sont les plus impuissants, et ils ont peur, ils ont peur de ne pas perdre les chaises du pouvoir et la domination sur les hommes, Seigneur, mais les humbles n’ont pas peur, car ils ont Ton royaume en eux, oh, Seigneur.
Vous, ceux qui vous savez fidèles au Seigneur et à sa venue d’aujourd’hui en parole au-dessus de la terre, approchez-vous et écoutez ma parole, la parole de Jean le Baptiste! Oh, appliquez-vous le plus possible à connaître et travailler ensuite l’amour de l’humilité, et puis repentez-vous pour le royaume qui vient bientôt sur la terre, le royaume de Dieu. Le Seigneur ne demande à personne le moment où Il doit venir avec Son royaume sur la terre. Il vient et Il règne, puisqu’Il faut qu’il y ait Empereur du ciel sur les hommes, et ils sont dignes de pleurs et de honte les hommes qui occupent les chaises d’église, et qui se mettent en colère contre la venue du Seigneur et contre Sa voix, par laquelle Il prépare les hommes. Oh, ne vous mettez pas en colère vous, ceux qui vous vous êtes installés sur les chaises du pouvoir sur les hommes. Voilà, vous n’aimez pas le troupeau de l’église. Vous ne ressemblez pas au Seigneur, à Celui Qui est miséricordieux. Vous ne ressemblez pas du tout à notre Pasteur Jésus-Christ, le Seigneur et l’Empereur, le Seigneur des Saints. Oh, ne vous mettez pas en colère, car ceux qui le font contre le Seigneur et contre les chrétiens qui L’aiment, vont souffrir tout comme ceux du temps de la haine contre le Christ et Ses disciples. Payement plein de colère amassent ceux qui ne veulent pas le Seigneur entre les hommes et avec les hommes sur la terre. Oh, venez vers l’humilité et ensuite vers le repentir pour vos actions contraires à Dieu, car autrement vous allez être écrasés par le payement de vos mauvais faits, au jour où la justice seule va travailler, elle seule, et lorsque l’homme, qu’il soit bon ou mauvais à Dieu, il n’aura plus aucun pouvoir devant les puissances célestes, par lesquelles le Seigneur se porte.
L’esprit de la prophétie c’était Mon œuvre alors et maintenant, œuvre de messager j’ai travaillé et je travaille encore. Je viens et je vous demande, oh, qu’est-ce que vous faites, vous? Voilà ce que vous faites! Vous voulez renforcer votre empire et bâtir des palais majestueux, pour éblouir les hommes et régner toujours plus durement sur ceux aussi fatigués sous les plis de vos vêtements d’empereurs, mais il se lèvera le gros du peuple, il mettra en question son rédemption, et il va vous considérer comme des violateurs des lois saintes et vous allez comprendre la réprimande, mais tout va vous dire alors: Il est tard! Cela vient tardivement!
Oh, fils des hommes, moi, Jean le Baptiste, je vous appelle à la veille et au repentir avec de la veille. Il n’y a plus de temps pour demander de la terre, pour désirer celles de la terre, car il y a eu dans le peuple roumain un poète qui se plaignais devant les dirigeants du pays et criait au nom de son peuple en disant: Nous voulons notre lopin de terre! Oh, ces gens-là n’avaient pas de terre, les pauvres, ils n’avaient pas de droits sur la terre, les grands se fichaient d’eux, et il pleurait en vain le peuple, auquel c’était le ciel qui lui manquait, pas la terre, mais moi, je vous conseille de chercher le ciel pour la terre, car malheur à la terre, qui n’a pas au-dessus d’elle le ciel avec les hommes! Ceux qui ont sur la terre le ciel dans leurs cœurs n’ont à se plaindre de rien, ils sont sages et beaux, ils sont heureux dans les ennuis, la pauvreté et les insatisfactions ne les abattent pas, mais c’est le saint désir du ciel sur la terre qui les brise, et ils sont invincibles, tel que moi je l’ai été, celui sans aucun droit sur la terre entre les hommes, puisque j’étais loin des hommes et rapproché au Seigneur et de Ses anges, et après ma sortie au Jourdain pour préparer l’apparition du Seigneur, selon l’annonce céleste sur moi, oh, les grands de mon peuple ne m’ont pas reçu, si je leur avais annoncé le Seigneur, Celui né à Bethleem, et si j’ai appelle les hommes à la repentance, et, lorsque je suis allé chez le roi d’Israël pour corriger sa stature débauchée, j’ai été donné à la mort, et j’ai pris ma place et mon grand travail, celui du ciel, et je suis le même, Jean le Baptiste aujourd’hui aussi, et je crie aux hommes qu’ils demandent la venue du ciel sur la terre, et que le Seigneur verse la coupe de l’infamie, sur ceux qui travaillent toujours à la remplir.
Et à vous, fils de la foi, je vous dis du ciel: n’ayez pas peur des hommes, tout grands et forts qu’ils se croient. Ce sont eux qui doivent avoir peur de la montagne de l’infamie qu’ils ont continuellement bâtie, et à vous c’est la foi et ses fruits. Oh, elle vient la délivrance, sachez qu’elle vient. Lorsque personne ne s’y attend, elle vient. Amen.
Et maintenant, Seigneur Jésus-Christ, Ta parole près de la mienne va compléter la table de parole de ce jour de réunion des saints, où je suis fêté, puisque j’ai été avec Toi dans le Jourdain, Agnelet soumis sous la main de Ton serviteur, et ceux qui Nous aiment pour la richesse du ciel sur la terre, ils forment une forte cité, aux fondement dans le ciel, Seigneur, et ils parlent avec Toi et Te reconnaissent, tout comme les eaux du Jourdain T’ont reconnu de Maître et T’ont salué, et le signe apparu alors dans le Jourdain témoigne du Seigneur aujourd’hui aussi dans ses eaux, au jour de l’Epiphanie, pour l’assurance de la multitude.
Oh, Maître, lève Ta main, lève-la et arrête le projet de l’homme, ourdi contre Ton pouvoir, par lequel tu maîtrises, et montre leur que ce ne sont pas eux, mais c’est Toi qui es le Maître, et Tu as sous Ton pouvoir tout ce qui souffle et bouge sur la terre, et accorde-leur beaucoup d’espoir, Seigneur, à ceux qui T’attendent avec toute Ta victoire, car ils doivent être récompensés ceux qui supportent longuement, espérant en Ta rédemption.
Je te supplie à L’esprit brulé par le feu de la prière, je te supplie, Seigneur, oh, ne laisse pas de direction sans Dieu sur le peuple et la terre roumaine! C’est le pays de Ta venue cette terre, et voilà comme Tu viens et combien Tu Te partage à ceux qui Te désirent et à ceux qui ne Te désirent pas! Oh, mets de la foi dans les hommes et dans les dirigeants et amène le temps céleste sur la terre ici ! Je suis avec l’assemblée des saints et c’est cette prière que nous T’adressons tous, car nous aimons cette terre qui est la tienne, que le Père a choisie pour Toi, pour la fin des temps. Fais que les peuples de la terre aient peur devant ces frontières scellées par Ta parole, et qu’ils comprennent Ta venue en parole sur la terre et Ta grande préparation pour le jour de la gloire, quand les fidèles vont se réjouir de leur Sauveur, et Toi, Tu vas partager de la miséricorde et de la consolation, Seigneur.
Oh, gloire à Ton grand nom, gloire à Ton royaume, car Tes saints sont Ta gloire et ils sont Ton fruit! Amen.
— Oh, Mon Baptiseur, J’ai ici un peuple qui attend la venue du ciel sur la terre et qui crie tous les jours: «Viens, Seigneur Jésus»! Il ne sera pas compromis ce peuple. Il est petit le peuple de Ma parole, mais il est sage et actif, et c’est seulement de la beauté qui surgit à son passage sur la terre, mais ils ont peur du petit, ils ont peur les grands et ils produisent des vagues selon leur savoir. Ils ont peur les chefs de l’église et ils se rendent ridicules par cette crainte.
Oh, ne vous mettez pas en colère vous, ceux qui vous présentez comme grands serviteurs aux autels du Seigneur. Oh, personne ne va pas emporter votre empire. Il ne ressemble pas à Mon empire, du moment que vous ne semblez pas être les hommes de Dieu, puisque J’ai été pauvre, méprisé et humble, et vous êtes riches et glorifiés des hommes, fiers dans votre orgueil, et voilà vous ne ressemblez pas à Dieu. Oh, ne vous effrayez pas! C’est en vain que vous vous troublez et vous faites des vagues. Considérez la charité et la sagesse et la beauté de la marche des fils de Ma parole d’aujourd’hui et ne les persiflez, ne les blessez plus, selon votre habitude, pour exclure ceux qui ne vous ressemblent pas. Oh, combien auriez-vous été glorifiés, si vous aviez reçu Ma parole, par laquelle Je viens et Je console et Je fais revenir à la vie l’homme, et Je lui apprends la vie propre pour la marche! Oh, quelle mauvaise attitude, celle de guetter, de mépriser et menacer ensuite ceux qui s’inclinent pour prendre de Ma bouche de la charité et de la parole! Mais Moi, Je dis à ceux que vous persécutez ouvertement ou furtivement, les éloignant d’auprès de vous, et Je leur dis cela:
Oh, ne vous attristez-pas vous, ceux qui êtes brusqués et réprimandés par les grands, qui se tiennent au-dessus de vous pour vous avoir en esclaves de leur gloire. Le Seigneur vous met à l’abri du mauvais temps, et vous, réjouissez-vous! Oh, que de cruauté dans leurs cœurs! Quels grands personnages se sentent et se croient-ils ces persécuteurs! Oh, malheureuse grandeur que la leur! Ils sont des impuissants, du moment qu’ils craignent et qu’ils défendent leur empire. Moi, le Seigneur, Je n’ai pas été reçu des grands prêtres ni alors ni maintenant, et Judas, celui dont ils ont profité alors, il a vu seulement à la fin qu’il s’est trompé, et il a crié leur disant la vérité: «J’ai péché en livrant un sang innocent!», mais les grands prêtres ne se sont pas soucié de lui et ils ont dit: «Que nous importe? Cela te regarde!». Judas leur a retourné l’argent, qui est resté dans leur possession, argent avec lequel ils ont acheté le Seigneur, et c’est toujours eux qui s’en sont servi ensuite. Et vous, ne vous laissez pas tomber dans la piège de la tromperie, puisque les grands prêtres d’aujourd’hui sont presque tous semblables à ceux d’alors, et malheur à ceux d’entre les serviteurs d’autels qui se laissent trompés et utilisés, en croyant dans le pouvoir sur le monde des prélats du temps!
Vous, serviteurs d’autels, fuyez l’amour de l’argent et de la gloire! Qu’elles ne vous enchantent pas la richesse et les fonctions dans l’église. C’est Moi l’exemple à suivre pour vous, afin de vous rendre compte que vous êtes les serviteurs de Dieu. Un serviteur de Dieu ne fait pas ce que les hommes de l’église font, lesquels voilà, ils sont prêts et capables de renverser, de faire couler à fond le navire de l’église, celle de deux mille ans, qui a supporté et ne s’est pas mêlée aux choses étrangères à la loi venue des cieux pour elle.
Oh, voilà venir la démolition, pas l’édification de la foi, car il vient et se montre un grand mélange, qui n’est pas venu de Dieu et des saints, mais de l’antéchrist, duquel il est écrit qu’il va entourer la cité des saints, l’église du Christ, mais Moi, Je prends la parole et Je dis: Qui doit périr, qu’il périsse, et ceux qui sont fidèles, qu’ils n’aient pas peur! Cette union n’est pas de Dieu, mais c’est l’œuvre de l’antéchrist, celle à visage caché sous la chemise de l’église du Christ, tout comme il y a deux mille ans.
Je renforce Ma parole et Je dis: Ce ne sont pas les hommes, mais les saints qui vont travailler sur la terre pour Mon église, et au moment où Gog et Magog essayeront d’entourer la cité des saints, du feu descendre des cieux, du feu et du souffre vont travailler, et le plan de l’antéchrist sera détruit avec tous ses anges, et Moi, le Seigneur, assis sur une chaise blanche, J’ouvrirai les livres, J’ouvrirai ce livre aussi, et on apprendra tout Mon œuvre, et celle des ennemis aussi, et Moi, Je Me tiendrai sur haute montagne avec Ma mariée, tel qu’il est écrit, et Mon nouveau nom sera «la Parole de Dieu». Amen, amen, amen.
20-01-2016