La Parole de Dieu à la Fête du Saint Grand Martyr Démétrius, Source d’huile sacrée

Dans les jours de fête des saints il y a des préparatifs dans les cieux pour Ma venue avec les saints chez vous, les fils. Vous êtes les surveillants de Ma cité avec vous et de son travail pour Ma gloire, car Je Me glorifie dans Ma cité et Je Me mets à table de parole avec les saints et les hôtes qui viennent souvent pour accueillir la descente de Ma parole sur la table ici, parole qui nourrit ceux qui se réunissent du ciel et de la terre à Ma table avec vous.

Et voilà, les fils, voilà qu’elle arrive en vitesse et s’approche rapidement la fête de Mes anges, et de leurs chefs, et Moi, le Seigneur, Je vais au-devant de ceux qui se préparent de venir dans Mes jardins d’ici avec vous, Je les accueille, les fils, et Je parsème leur voie vers Moi et vers vous avec des anges voyageurs et des saints protecteurs, et c’est ce que Je fais toujours, pour leur foi en Mon œuvre avec vous, dans la parole que Je laisse sur la terre par votre travail avec Moi, pour Ma gloire avec vous, fils de la cité.

Je laisse donc Ma bénédiction sur la voie et les pas et le saint désir de ceux qui voyagent vers vous, vers la source. Et nous allons appeler à la table d’automne pour eux, Nous allons appeler les endormis du sommeil de la terre, pour lesquels vous insistez tout le temps auprès de Moi, pour leur préparer le repos et leur part avec Moi, et la rémission de leurs fautes commises le long de leur existence en chair, les fils, et qu’il est grand ce service pour eux, et pour vous aussi avec eux, car vous vous inscrivez dans les cieux devant Moi avec ce grand bienfait envers eux, bienfait tant attendu de venir de la terre pour eux.

Oh, mais n’oubliez pas, oh, les fils, n’oubliez pas de vous, n’omettez pas vos fautes, et agissez pour vous purifier d’elles à temps, et Je vous prie en pleurant, Je vous prie de regretter de tout votre cœur les fautes par lesquelles vous M’avez plus ou moins endolori, et qu’ils regrettent surtout quelques uns d’entre vous qui ont si peu compris l’œuvre de Ma parole avec vous, et Je dis à tous ceux qui croient, Je leur dis cela:

Les fils, les fils, vous devez voir vos fautes, et ensuite travailler à les faire disparaître de Ma face, et pour cela il faut que vous ayez Mon œil en vous, pas le vôtre, puisque l’homme cherche de se ranger de la part de soi-même, et si par sa nature, il n’a pas l’humilité celle qui donne la vie, il ne peut prendre soin de son cœur, de Mon temple dans l’homme, duquel il devrait Me laisser de le diriger Moi-Même toujours, toujours, les fils, pour qu’il comprenne l’homme Mon mystère d’aujourd’hui, car tous ces jardins d’ici ont leur secret caché dans les temps, et que J’ai découvert à beaucoup de Mes serviteurs le long du temps, mais c’est pas pour eux que Je l’ai fait, mais pour ceux d’aujourd’hui, afin qu’ils lisent, qu’ils croient aux accomplissements, qu’ils comprennent et ensuite qu’ils travaillent et qu’ils les gardent d’auprès de Moi, qu’ils gardent tout autour ces jardins et Mon mystère avec eux, en séjournant avec Moi sur la terre, et Moi avec eux et tout, tout est couvert de mystère, du mystère du paradis, le mystère de Ma compagnie active avec les saints.

Oh, les fils, Mes anges vous font toujours des photos. Faites attention d’être beaux comme Moi, pour pouvoir vous réjouir quand vous regardez votre fortune accumulée chez Moi, car ils seront dans la honte ceux qui n’ont pas été soucieux à tout instant pour leur ressemblance avec Moi, pendant la vie passée sur la terre.

Oh, les fils, quand vous vous trouvez au milieu des vagues dangereuses et les tentations vous attaquent, appelez-Moi comme Pierre pour venir vous aider, mais ne doutez pas de Moi si vous M’appelez, attendez-Moi de venir, et ne méprisez pas les douleurs lorsqu’elles viennent. Elles sont vraies, et les joies ne le sont pas, les fils, et vous, cherchez tous l’amour, mais l’amour spirituel, car il ne meurt jamais, puisque son œuvre c’est la vie, les fruits de la vie que vous connaissez des Ecritures, et surtout la tendresse et la douceur, l’humilité du cœur et le pardon, les fils. Et si quelqu’un serait prêt à tomber, celui-là perd tout d’abord l’amour, et ensuite les dons spirituels l’un après l’autre, et il n’a plus besoin de Moi, il se fabrique lui-même de l’amour, employant des choses qui le font tomber de Moi.

Voilà, voilà réveil saint pour vous: effacez de Moi les paroles de votre langue, celles qui vous rendent coupables et vous guettent pour vous faire des douleurs, et pour lesquelles le diable attend le moment pour les accomplir aux dépens de la vie de vos âmes, car la vie de l’âme est sans fin, et peut être avec de la douleur éternelle, avec des larmes éternelles, oh, c’est pourquoi ayez soin de faire disparaître de Ma face l’accusation du diable pour les choses échappées par votre langue et favorables à lui ensuite. Ne parlez pas sans bien réfléchir, pas même mentalement! Il est dangereux, les fils, car il est écrit que «Chaque oiseau périt par sa langue».

On peut reconnaître le moment où c’est Dieu ou bien c’est l’homme au gouvernail de sa vie. Le cœur c’est le temple du Saint-Esprit, et quand il est pillé ce temple, le Seigneur est renversé de Son trône du corps de l’homme, et celui-ci dirige ensuite tout seul les sentiments, la pensée, la parole et leurs actions. Lorsque tu te trouves face à face avec un tel homme, qu’est-ce que tu dois faire si tu es avec Dieu ? Tu dois parler avec le Seigneur pendant tout le temps que cet homme est devant toi, avec les choses de sont intérieur. Tiens-toi fixement ancré dans le Seigneur avec tout ton être, et renforce la veille sur toi, pour ne pas te faire mal, pour ne pas avoir peur, faiblir avec l’esprit et perdre ta patience sainte et l’appui du ciel.

Les fils, les fils, soyez attentifs de ne pas perdre la foi à cause du manque de charité. Attention à la présomption qui est l’ennemi mortel de l’amour de Dieu et des frères, puisque c’est à cause de ce mauvais péché qu’ils sont tombés de Moi ceux qui ont joué avec ce péché qui amène la condamnation sur le peuple chrétien entre frère et frère, entre l’homme et Dieu. L’homme accumule des fautes et ensuite vient l’orgueil, l’âme froide et dure, une raison trouble et grossière, et il perd la finesse de l’esprit, par lequel il voit et il se voit.

Oh, les fils, quand vous n’avez pas l’amour, c’est à cause du péché de l’orgueil, et sachez alors que vous avez ce péché en vous. C’est à cause du mécontentement et des protestations qu’ils ont été punis les fils d’Israël et ils se sont égarés en tournent en rond durant quarante années, en route vers le pays du salut que Je leur avais promis? Oh, et c’est toujours par le mécontentement venu de la désobéissance qu’ils ont perdu la voie, tous ceux qui ont fait comme les fils d’Israël, comme ceux qui se sont révoltés contre le chef que Je leur avais donné, et ils ont marché non guidés, et ils ne sont plus arrivés au lieu vers lequel ils voyageaient, et ils ont rêvé de retourner en Egypte, et ensuite ils ont péri en tombant sur la voie, dans le désert.

Oh, Israël, toi, Israël d’autrefois, combien Me suis-Je incliné pour te délivrer de l’esclavage du peuple étranger! Combien Je Me suis incliné! Oh, et combien M’as-tu incliné ensuite! Je t’ai attiré avec des bonbons pour t’aider de te délier de la servitude et de vouloir retourner à ton Seigneur Dieu et Lui rendre gloire et obéissance ensuite, et ne plus perdre la maison et le pays et le peuple et tomber de nouveau esclave aux étrangers. Mais toi, tu n’as pas voulu te réjouir, tu es devenu triste et tu as protesté, tu M’as jugé de t’avoir sortie d’Egypte, et tu as dénigré ton chef et tu as voulu être de nouveau avec les étrangers. Tu t’es considéré digne de mérites et prétentieux, oh, et tu en as été puni, car la terre t’a englouti sur la voie et tu n’es plus arrivé à la maison, dans la terre de tes parents, ni en arrière, en Egypte. Oh, qu’il aurait été bon pour toi que tu fusses sage, mais tu ne l’as pas été, et tu es mort révolté, il est mort tout le peuple des fils d’Israël, celui sorti de l’Egypte, ils n’en sont pas restés que deux d’entre eux, ceux qui M’ont mené le peuple dans le pays de Canaan, et Mon ange Michael les a guidés et les a encouragés, ceux qui ont été nés sur la voie, les petits.

Oh, Mon peuple d’aujourd’hui, oh, Mon fils, l’homme a tant de péchés par lesquels il peut perdre la direction du Seigneur et il peut se perdre lui-même du Seigneur, et son insouciance s’accroît avec chaque péché, car c’est cela qu’il fait le péché, il grossit l’homme pour ne plus sentir, pour ne plus se sentir soi-même et se relever quand il tombe, et s’affranchir du péché. Oh, tu n’es plus avec Moi, tu es avec le monde, avec les chemins du monde dans ta maison, dans tes yeux, et tu vas comme le monde, tu vas aux lieux où le monde va, tu y vas en restant dans la maison, oh, et tu n’es plus avec Dieu, tu es avec le monde, puisque le diable a su avec quoi t’attaquer et te rendre coupable, et tu ne M’as pas obéi quand Je t’ai prié de sortir du monde et de ne pas apporter le monde dans ta maison, dans ta vie, et de ne pas regarder son visage et son œuvre, car si tu n’obéis pas, tu tomberas malade, et ta maladie s’appelle le monde, elle s’appelle esprit du monde.

Les fils, les fils, celui qui a ses actions à part les Miennes avec lui et pour lui, celui-là veut et va sur deux voies, et un tel homme va avec deux ou trois ou même quatre melons à la main, car c’est ainsi qu’il s’est habitué de faire lui- même, de pouvoir lui- même, de vouloir lui- même, et il n’aime pas avoir sur lui une main qui guérisse de la part de Dieu, et c’est ainsi que l’homme reçoit ce qu’il travaille, car c’est lui- même qui le choisit. Moi, le Seigneur, J’ai toujours eu à souffrir de la part de tout homme insoumis à Dieu. Je sais et Je vois que l’homme ne peut Me laisser de choisir Moi pour lui selon Ma volonté, mais voilà, c’est ainsi qu’il se perd l’homme, tel qu’il l’a fait en Eden aussi, car il a voulu pouvoir lui- même, être libre de Dieu et même des anges de Dieu, et voilà, l’homme ne peut laisser Dieu de lui conduire les pas et les actions, et Moi, le Seigneur, Je ne peux Me mettre à sa disposition, puisque Moi, Je suis Dieu depuis sept mille ans, depuis deux mille ans et l’homme n’a rien réussi pour sa vie en agissant tout seul, si ce n’est que pour dissiper sa vie.

Oh, il y a peu de ceux qui viennent pour l’amour de Dieu avec leur cœur, et ceux-là peuvent être avec le Seigneur le long de tout le chemin de leur vie. Une autre sorte de venue auprès du Seigneur ne te maintient pas avec Dieu jusqu’à la fin de la vie, et cela parce que les plaisirs te font reculer, plaisirs qui te tentent pour les aimer, pour les désirer et qui s’attachent à ton cœur pour t’incliner vers elles.

Oh, ayez soin, les fils, ne vous lamentez pas les uns aux autres avec des mécontentements sur votre voie avec le Seigneur, tel qu’ils l’ont fait les fils d’Israël, car, attention, la parole une fois prononcée par la bouche, elle est prise du diable comme péché du mécontentement, et il vous guette ensuite pour vous faire tomber par vos propres paroles, dirigées de côté. Mais Moi, Je vous conseille en jour de fête de saints d’effacer de Moi tout ce qui vous rend coupables devant Dieu, et d’être ensuite source de foi les uns pour les autres, les fils. Car voilà Mon martyr Dimitri a renforcé la foi des fidèles de ce temps-là et il ne l’a pas affaiblie en eux. Et même s’il avait reçu grand titre devant l’empereur du temps, étant chrétien en secret, oh, il n’a pas pu faire du mal aux chrétiens, il s’est reconnu chrétien lui- même et il a fortifié les fidèles dans les actions de la foi, et il est allé entre Mes saints par la mort pour le Christ, et il est vivant, il travaille d’entre les vivants, et ils viennent avec Moi les saints, lorsque Je viens dans la cité avec Ma rivière de parole.

Il souhaite beaucoup votre compagnie Mon disciple, les fils, et Moi, Je lui donne l’entrée à Ma table avec vous. Paix à toi, disciple qui a témoigné de Moi! Voilà Ma cité, voilà le peuple qui M’est fidèle!

— Je m’incline ici devant Toi et devant eux, Seigneur, en Mon jour de fête, et Je suis avec les saints dans Ta venue. Je leur dis, de Ta cité avec eux, je leur dis qu’ils aient soin de la foi et de prouver leur fidélité toutes les fois qu’ils ont à choisir ente Toi et eux, car moi J’ai choisi au moment de l’épreuve, puisque ma promesse a été mon amour pour Toi et je Te portais en secret comme amour de Ma vie, et lorsqu’il est venu le jour de le témoigner, j’ai aidé beaucoup de gens dans leur foi, car je suis resté avec Toi et j’ai repoussé l’empereur à pouvoir passager et tant dépourvu de vue et de raison, Seigneur. Maintenant je travaille avec Toi, à Ton service je travaille, pour Ton œuvre d’aujourd’hui je travaille moi aussi, et je Te remercie de m’avoir choisi d’être Ton aide aujourd’hui aussi, et d’aider ici ceux qui portent Ta parole et Ta marche, oh, et heureux sont et seront les gens qui sauront leur obéir, prendre d’eux, croire comme eux, car en travaillant ainsi ils ne chancèleront pas, et ils seront Ta joie. Amen.

— Oh, les fils, ils se consolent les saints quand Je viens chez vous avec eux. Je Me console Moi aussi, et Je veux vous avoir de consolation. C’est par l’œuvre de Ma parole que vous êtes ce que vous êtes, et elle est grande pour l’homme l’honneur d’avoir ce que vous avez. Je vous ai donné cet honneur, pour avoir par elle chemin libre entre vous avec tout Mon travail, mais en prenant soin de ne pas vous emparer du gouvernail de la main de ceux qui vous conduisent vers Moi, puisque ce sont eux ceux que J’ai établi pour Ma marche avec le peuple et pour le peuple. Oh, ayez soin de ne pas les devancer quand il s’agit de choses qui doivent être travaillées entre Moi et vous, entre vous et vous, les fils. Ils souffrent et ils soupirent beaucoup dans les pleurs cachés de leurs cœurs, pleurs qu’ils couvrent sous le sourire de leur visage, pour que Mon peuple puisse avancer sur la voie de la vie.

Les fils, J’ai à Ma table d’aujourd’hui avec vous une petite âme amenée à Moi par les anges il y a quarante jours, et Je lui accorde la consolation de participer au festin avec Moi et avec vous, car sa souffrance est montée jusqu’à Moi, au nom des beaucoup de fautes de ceux d’auprès de lui, durant son temps passé au milieu de Mon peuple celui le plus proche, et maintenant Je lui prépare de la consolation, sachez-le donc et consolez-vous pour lui, pour son lieu entre les serviteurs venus à Moi, de ceux qui ont prouvé devant Moi leur fidélité et leur amour, mais aussi celle du peuple de Ma parole pendant leur temps passé sur la terre.

Oh, qu’elle soit bénie la préparation de la fête des anges et la réunion ici de ceux qui désirent Ma compagnie et la vôtre, et Mes jardins avec vous, fils qui êtes Mon appui! Qu’elle soit bénie leur voie et leur voyage vers la source!

Que vous soyez bénis vous, et tout ce que vous allez travailler, et toute la fête des anges, et tout sera merveilleux, et quelle grande consolation vont prendre ceux des cieux et ceux de la terre réunis à la fête, et grande sera la beauté de la fête de Mes anges.

Oh, paix à vous! Paix en vous et entre vous! Paix entre vous et Moi, car c’est cela votre œuvre, justement cela, oh, les fils! Amen, amen, amen.

08-11-2019